Septembre est arrivé, l’été touche à sa fin et un sentiment de douceur me saisit. Bientôt je retrouverai le chemin de Poudlard, sa magie, sa quiétude. Un sentiment familier m’envahit. Mais il y a cette année une ambiance étrange qui règne dans le train qui mène à l’école des sorciers. Comme un brouillard qui doucement enveloppe le monde.
Sirius Black, le dangereux criminel, s’est évadé de la prison d’Azkaban pourtant réputée inviolable. Et l’homme le plus recherché par le ministère de la magie menace la vie d’Harry Potter. A Poudlard les élèves ont été mis sous haute protection et les détraqueurs, ces ignobles créatures censées garder la prison d’Azkaban ont été placées devant les portes de l’école. Mais peu à peu, la vie reprend son cours au château : entre les entrainements de Quidditch, les cours de divination et le nouveau professeur de défense contre les forces du mal, l’année n’est pas de tout repos pour Harry, Ron et Hermione
S’il ne devait y en avoir qu’un, ce serait surement celui-là… lui où bien le suivant : Harry Potter et la coupe de feu. Il y a dans ce tome (comme dans le suivant) un sentiment profond et intense qui me saisit à chacune de mes lectures. C’est un tome plus sombre, plus prégnant que les précédents. Il nous transporte au cœur des émotions. Alors, à l’instar des détraqueurs, capables d’aspirer les sentiments de ceux qui les approchent, je me suis nourrie de chacun d’eux : du désespoir à l’espérance. Chacune de ces sensations a vibré en moi, prêt à jaillir avec la force d’un Patronum.